

Chronique réalisée par archi_lectures, dans le cadre d’un service presse, disponible sur Instagram !

Moins de fesse, plus de tristesse. Et même, plus d’émotions globalement, plus d’humain en un sens. Bon, évidemment, on a quand même de la fesse, sinon ce ne seraient pas les aventures de Maëlys et Julian, mais quand même, de façon moins crue que dans le premier tome.
J’ai trouvé ce tome un peu plus lent à démarrer mais plus intense, dans le sens où cette fois-ci on connaît les personnages, on a eu le temps de s’y attacher avec le premier tome, on est heureux de les retrouver et c’est ce qui fait qu’on est encore un peu plus atteint par ce qui leur arrive et par leur souffrance, car oui, ici encore, ils ne sont pas ménagés. Gestion du deuil, de la rancœur, de la colère, de la tristesse, questionnements sur l’humanité et j’en passe, ce sont quelques-uns des sujets abordés dans ce tome que j’ai trouvé plus sombre et poisseux, à l’image de l’entité centrale du roman. Les personnages sont constamment remis en question, ils s’interrogent sur les autres et surtout sur eux-mêmes, et affrontent ces questionnements en même temps que l’antagoniste mystérieux qui leur en fait voir de toutes les couleurs (mais surtout du noir).
J’ai encore une fois adoré ma lecture, j’ai aimé retrouver ces personnages qui arrivent à me faire sourire avec leurs répliques comme à me donner de la peine pour eux avec leurs histoires. Et en plus je suis dans les remerciements (je m’en remets pas, ça m’a trop touchée, vraiment) ! En clair, vivement le tome 3 !
