Parfaite Agonie – Le projet

Parfaite Agonie, qu’est-ce que c’est ?

C’est un projet qui a vu le jour il y a pas mal de temps maintenant. Je crois que ça fait bien une dizaine d’année.

Je ne lui avais jamais donné autant d’attention qu’il mérite jusqu’à il y a peu, finalement.

Il a vu le jour alors que je n’étais pas au meilleur de ma forme, euphémisme. Et j’ai mis beaucoup de temps à le construire, le finaliser, jusqu’à savoir le nombre de tome que je voulais exactement. Le fait qu’il y en ait cinq n’est pas un hasard.

Certaines personnes ont déjà pu remarquer l’évidence du sous-titre, se doutant également des futurs noms des tomes futurs. Mais bon, je pense malgré tout vous réserver pas mal de surprises sur son contenu…

Je pense que vous allez vite vous rendre compte que j’ai une sorte de fascination pour l’eau, l’orage. On retrouve beaucoup cet élément dans mes livres.

D’une manière générale, plus nous allons avancer, plus l’angoisse et les moments d’épouvante vont prendre de la place. Le premier semblera même assez léger, lorsque vous aurez le deuxième entre les mains.

Mon tome favori, pour le moment, est le troisième. J’ai vraiment hâte de vous le montrer, car il comporte de nombreux éléments qui me sont chers. Je ne peux pas trop vous en dévoiler sans spoiler intégralement la série, mais franchement… j’ai hâte.

Revenons-en au premier tome, puisque c’est celui-ci qui va bientôt sortir (le 31 octobre 2022, mais il se peut que je lance une campagne de précommandes avant).

J’adore faire la mise en page, du coup, l’intérieur du bouquin, pas de problème. Par contre, la couverture a été une autre paire de manches.

Comme je touche un peu à Photoshop et ce genre de choses, je me suis dit « EZPZ, je vais la faire moi-même ». Oh la bonne idée…

Voici mon tout premier essai, alors que le premier tome de Parfaite Agonie ne s’appelait pas encore « Déni ».

La seule chose de bien, c’est la silhouette de la femme, et ce n’est pas moi qui l’ai faite, mais une bonne amie.

Autrement, il n’y a rien qui va.

Voilà mon deuxième essai. Le sous-titre avait changé, je savais où j’allais. J’avais utilisé une de mes photos pour le fond, et la silhouette, encore une fois, était un dessin d’une amie. D’ailleurs, c’est la silhouette de Maëlys.

Mais même là, je savais que je fonçais un peu dans le mur avec mes idées.



Du coup, t’as fait quoi ?

Ben c’est simple, j’ai bossé pour commencer à mettre de l’argent de côté, et j’ai pris contact avec une personne, une seule. Tiphs.

Comme je ne savais pas où j’allais, je lui ai d’abord demandé ses tarifs en lui expliquant mon projet. D’ailleurs, elle a un autre site où elle montre un exemple d’email à envoyer à un illustrateur. Lorsqu’elle m’a répondu, je me suis dit que j’allais bosser pour pouvoir payer un travail de professionnel.

Et franchement, je pense que c’est une des meilleures décisions que j’ai prises. Elle a été à l’écoute, je lui ai dit lesquels de ses travaux j’aimais le plus, j’ai envoyé quelques fiches Word afin de lui expliquer l’univers de mon premier roman, ainsi que l’univers global de la série. Et elle m’a proposé une idée que j’ai adoré. Mais dont je ne vous dévoilerai rien, ahah.

Je suis totalement amoureuse de son travail. Et je suis très fière de vous présenter un aussi beau produit. Car même l’intérieur a été peaufiné, puisque j’ai fait appel aux services d’une correctrice, Aki Iwei.

En bref ?

Un travail assez titanesque, surtout quand on choisit la voie de l’autoédition. Mais je ne regrette vraiment rien, je suis vraiment fier de ce petit bébé. Et j’espère sincèrement que vous l’aimerez aussi, car il y a littéralement mon sang et mes larmes dedans.


5 réflexions sur “Parfaite Agonie – Le projet

  1. Merci de nous faire partager cette genèse ! J’adore voir comment s’y prennent les autres auteur.es, le processus créatif… Certains projets comme Parfaite agonie demandent du temps pour se développer. On sent que c’est un roman important pour toi et je vais suivre cette série avec attention. 🙂

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    1. Je te jure, depuis le temps que ce projet est commencé, parfois j’en ai le vertige. Maintenant que tout devient réel, je suis effrayée. Mais ça passera quand la date de sortie sera là !

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      1. Je te comprends, j’ai partagé les mêmes émotions avec Le dernier western. J’étais en panique lorsque le manuscrit était chez mon correcteur ^^. Maintenant que je l’ai entre les mains, j’en suis fier et quoi qu’il arrive, j’ai fait de mon mieux. Sois positive et dans tous les cas, souviens-toi : il n’y a pas d’échec. Soit ça marche, soit on apprend. 😉

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      2. On m’a aussi dit de voir la réalisation du projet comme une réussite, et ne pas me focaliser sur le « après, après, encore après », comme j’ai tendance à le faire !

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      3. C’est humain comme réaction. Mais en effet, mener un projet à bien est en soi une réussite et ça fait du bien de savoir l’apprécier.

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